1. Dernière mise à jour le 20 août 2025
Session #60, samedi 30 août 2025 à 19h, heure du Japon.

Thème : Mobilités entre lieux vécus et lieux de vies – Penser et écrire les allers-retours.

Dates envisagées des sessions suivantes : 27 septembre, 25 octobre, 29 novembre, 13 décembre.

Sessions précédentes

Bienvenue

Depuis juillet 2020, Ecrire à Tokyo est une petite zone de dialogue expérimental et d’étude sur l’écriture littéraire en langue française avec Tokyo et le Japon en perspective, située hors du fétichisme et des phantasmes autour de l’objet Japon, sous la forme d’une réunion mensuelle en ligne initiée depuis Tokyo. Cette dynamique est ouverte aux participants du monde entier, amateurs ou professionnels.

Aucun espace de dialogue n’existait organisé par des individus – auteurs ou pas – pour qui l’écriture avec Tokyo et le Japon en fond d’écran compte et interpelle, ainsi que l’envie d’y réfléchir et d’en parler. Tant de gens écrivent! C’est chose faite depuis juillet 2020.

Les participants se trouvent autant à Tokyo qu’ailleurs au Japon, à Paris, à Saïgon et parfois entre deux avions.

Ambitions

Aux fondamentaux d’Ecrire à Tokyo se trouvent trois axes imbriqués : être accueillant, bienveillant, pratiquer l’empathie, faire ensemble quelque chose de l’ordre d’un dialogue intellectuel et spirituel le temps d’un bref temps en ligne. Ces axes se sont vites imposés au coeur du covid en 2020. Nous poursuivons dans cette voie.
L’écriture comme sujet est le moyen d’activer ces axes, mais l’ambition clé au fond est de créer et d’entretenir du lien.
Sur le strict sujet de l’écriture, les deux ambitions sont d’engager à écrire, et engager à penser que l’on est qualifié pour en parler, même sur des sujets complexes. Lire plus sur les ambitions.

Les Saisons d’ecrire à Tokyo

Ecrire à Tokyo, Saison 1 :
juillet 2020~septembre 2024.

4 ans, 50 sessions, un livre.

Ecrire à Tokyo, Saison 2 : 
octobre 2024~

Ecrire à Tokyo en très bref

  • Quoi : un cercle pratiquant l’ouverture d’études d’écritures et de littératures, sérieux, engagé, optimiste, accueillant, sans inscription.
  • Quand : une fois par mois à 19h, heure du Japon, et puis s’en vont.
  • Où : en ligne
  • Pour qui : tout le monde qui écrit ou pour qui l’écriture interpelle, avec Tokyo et le Japon en perspective; pas de diplômes requis.
  • Objectifs : inciter à écrire, créer du lien, faire ensemble.
  • Méthode : exposés et échanges à bâtons rompus autour des écritures contemporaines, de ses projets ou écritures en cours, pour donner à réfléchir, soutenir et inspirer. Nous abordons des thématiques où Tokyo et le Japon ne sont plus des perspectives uniques ni territoires exclusifs.
  • Se tenir au courant : demander à figurer dans la boucle des annonces.
  • Contact : ecrireatokyo@gmail.com

Ecrire à Tokyo en moins bref

Ecrirea.tokyo est une petite zone de dialogue et d’étude sur l’écriture littéraire en langue française avec Tokyo et le Japon en perspective hors le fétichisme pour l’objet Japon sous la forme d’une réunion thématique mensuelle en ligne, initiée en juillet 2020 depuis Tokyo par Julien Bielka et Lionel Dersot, avec des participants au Japon et hors du Japon.

Il s’agit d’une dynamique amateure dans le sens où la plupart des participants ne publient pas à compte d’éditeur, ce qui ne change rien à la qualité des échanges et à la pointure des analyses hors des sentiers éditoriaux battus et du fétichisme endémique dont la chose Japon est l’objet singulier et lucratif.

Nous sommes observateurs des théories mais surtout des pratiques littéraires contemporaines dans une perspective allochtone ou pas, avec Tokyo et le Japon dans le rétroviseur, comme sujets ou éléments plus ou moins déterminants des écritures propres à chacun, qu’elles soient pratiques régulières, tatonnements ou envies en gestation. Notre objectif est d’engager à l’écriture.

Ecrirea.tokyo s’adresse à des personnes qui écrivent ou envisagent d’y consacrer du temps et de la réflexion, et souhaitent partager des opinions et des questionnements. Notre objectif est d’explorer d’autres récits et approches narratives hors du fétichisme dont le Japon est un objet totémique.

Ecrire à Tokyo en très long

Depuis juillet 2020 … Ecrirea.tokyo
  • est une initiative de dialogue sérieux mais pas austère qui réunit des personnes impliquées dans, curieuses de, ou intriguées par l’écriture littéraire, en langue française d’abord, avec Tokyo et le Japon en toile de fond, hors du fétichisme, ceci à titre professionnel ou non, avec un rendez-vous mensuel en ligne.
  • être publié n’est pas une condition qualifiante de participation
  • le lieu géographique des participants est sans importance.
  • Il n’y a pas d’inscription préalable. Il suffit de demander à figurer dans la boucle des annonces pour être tenu au courant.
  • Ecrirea.tokyo est l’occasion de consacrer deux heures de dialogue thématique par mois et puis s’en vont jusqu’au mois suivant sur des sujets analytiques et créatifs autour des écritures littéraires, avec en ligne de mire d’autres récits, avec Tokyo et le Japon en fond d’écran plus ou moins proche.
  • Même si certains participants sont des universitaires, Ecrirea.tokyo n’est pas académique.
  • Ne soyez pas impressionnés par les sujets évoqués. Hormis la curiosité pour l’écriture littéraire, aucun diplôme n’est requis.
  • Ecrirea.tokyo a pour ambition de créer du lien et développer des réflections innovantes autour de l’écriture littéraire avec Tokyo et le Japon en perspective pour quiconque écrit ou pense à l’écriture non-commerciale.


Le livre est disponible

Si vous l’avez déjà acquis et l’avez apprécié, faites-le connaître, merci.

Nous avons publié un premier recueil d’écrits d’auteurs indépendants. L’ouvrage est disponible depuis le 23 mai 2024. Plus de détails sur cette page.

 

Les rencontres mensuelles en ligne

Nous développons une dynamique faite de bonnes volontés, d’empathie, de cordialité et de sympathie – mais aussi d’opinions contradictoires et plurielles – réunissant en ligne des personnes qui écrivent et lisent, professionnellement ou pas, ou des personnes qui sont simplement intéressées par l’écriture littéraire en langue française (au moins), avec Tokyo et le Japon en toile de fond. Pour autant, les références évoquées dans les discussions ne se limitent pas aux sources de langue française mais couvrent aussi et au moins l’anglais et le japonais. Les rencontres mensuelles ouvertes et sans inscription servent à parler d’écritures littéraires à travers des présentations et échanges thématiques. Une session mensuelle est ainsi organisée depuis juillet 2020.

Quelles écritures? D’autres récits

Écritures inclut pour nous toutes formes, hormis écriture promotionnelle, intentionnellement commerciale, quand bien même il faut payer le loyer, affabulations kitsch et autres fantasmes en mode pâmoison fétichiste voguant sur le japonisme contemporain aigu, ou clichés au service des marchands.

Nous cherchons à envisager le champ des possibles de l’écriture et des récits autres avec Tokyo et le Japon en perspective par la réflexion commune et en s’inspirant d’ailleurs mondiaux, et en se soustrayant – mission déjà accomplie – avec lucidité et courage à la force de gravitation d’un domaine englué et statufié dans l’univers affabulé, quelles que soient les motivations, qu’est cette ”PassionSiFrançaisePourLeJapon”, bloc-sens qui se traduit entre autre et justement par la quasi-absence d’une véritable production littéraire allochtone singulière.

Nous sommes pour un maximum de diversité générique, stylistique, tonale, etc. sans pour autant transiger avec certains partis pris éthiques qui sont les nôtres : d’autres récits, anti, anté, post, para-spectaculaires marchands.

Se situer hors la publiabilité

L’écriture est le sujet d’Écrire à Tokyo. La publiabilité est une option, pas une condition de l’écriture. Ne pas prendre la publiabilité en compte comme la donnée de base est une position clé. Elle permet d’ouvrir les persiennes sur les possibles de l’écriture littéraire, à commencer par les sujets impensés. Nous investissons les possibles d’autres récits.

La dés-organisation

Écrire à Tokyo n’est ni un réseau, ni une association, ni un organisme, ni un collectif, mais une dynamique, un flux,  souple, agile et ouvert se démontrant la capacité et la volonté de faire ensemble, même lors de rencontres courtes dans le temps.

Ecrire à Tokyo est un moment de passage où se réunissent en ligne le temps d’une session mensuelle de deux heures environ des personnes pour lesquelles l’écriture de/sur/avec Tokyo et le Japon compte ou interpelle, pour parler d’écritures, et de lectures, puis disparaître jusqu’à la session prochaine, ce qui n’exclut pas un café ou d’autres boissons de temps en temps à Tokyo, des rencontres amicales et spontanées hors du Japon au gré de voyages de chacuns et de liens amicaux qui se développent en parallèle, et des projets de recueils d’écrits communs.

Tokyo comme Zone d’Ecriture, ou l’utopie concrète d’une résidence éclatée, mobile et itinérante en ville

Il s’agit d’une réflexion évolutive sur l’utopie concrète d’une résidence d’écriture éclatée et itinérante à Tokyo.

Lire plus ici.

Réseaux sociaux

Ecrirea.tokyo est absent des réseaux sociaux.

Quelques thèmes déjà abordés ou envisagés

  • Anatomie et taxonomie de cette “PassionSiFrançaisePourLeJapon”
  • Tokyo au prisme du post-modernisme
  • Les dispositifs de non-fiction
  • Expériences de micro-édition
  • Les écritures de la solitude
  • D’autres guides touristiques et de voyages
  • Détournement des récits gastronomiques
  • Introduction à la micro-uchronie
  • Les écritures neutres et blanche
  • Les écritures d’enquête au Japon
  • L’esprit des lieux
  • Les écritures hors-sol : de l’impact de la mobilité sur les récits entre Japon et ailleurs
  • Entre utopie et envie réelle : énoncer les conditions pour développer un autorat allochtone et l’utopie d’une résidence d’écrivain Ecrirea.tokyo située à Tokyo accessible aux écrivains résidants permanents.
  • Politiser ses écrits : enjeux, risques réels et imaginaires.
  • Chronique du non-événementiel et de l’ordinaire
  • Uchronies intersticielles : fictionaliser le réel sans laisser de traces.
  • Nouvelles écritures hédonistes sur le Japon : changer de braquets.
  • Ecrire sans être publié.
  • Diarisme : écrire au quotidien.
  • Investir le diagrammatisme littéraire.
  • Détester Tokyo : penser les écritures contre.

Ecrirea.tokyo étant une dynamique qui fait progresser la compréhension des choses, certains sujets sont réabordés sur la base des acquis  et l’ouverture des chakras conséquents à des échanges et analyses antérieurs. L’univers est en expansion. Ecrirea.tokyo aussi.

Sessions en ligne

2020 : six sessions mensuelles, la première ayant eu lieu en juillet.

2021 : 12 sessions mensuelles dont trois de séminaires.

2022 : 12 sessions mensuelles.

2023 : 12 sessions mensuelles.

2024 : 11 sessions mensuelles.

2025 : Objectif 12 sessions.

Sur le don

Ecrirea.tokyo fonctionne sur le don, de son temps de participation, d’échange de savoirs, de savoir-faire, de son temps d’écoute, de réflexion, d’imagination, d’implication, d’empathie amicale.

Participer

Ecrirea.tokyo est une dynamique ouverte, mais qui demande de s’investir. Nous  sommes très attachés à éviter l’entre-soi et le mépris associé, et toute manière de snobisme.

Vous pouvez nous faire part de votre envie de participer ou d’être tenu au courant, ou poser des questions en envoyant un message à ecrireatokyo@gmail.com.

Vous pourrez participer ponctuellement ou régulièrement, même sans avoir suivi les séances précédentes.

Les concierges résidents.

Julien Bielka

Lionel Dersot

Bonus

Où écrire à Tokyo? Une sélection de lieux pour écrire à Tokyo. 

S’asseoir à Tokyo